jeudi 2 septembre 2010

MILITER POUR LE PNSF

Notre progression et la victoire dépendent de notre détermination dans la lutte, de notre formation idéologique et physique, mais surtout de la capacité de chacun à s’investir et répandre le message. « Le dilettante n’est pas un militant. » Devenir un militant relève d’un acte de foi, non circonstanciel. On est militant ou on ne l’est pas. On prend ses responsabilités et l’on assume ses actes jusqu’au bout ou alors on demeure un observateur.



Le militantisme National Socialisme Français ne tolère pas la demi-mesure et ne doit plus supporter le poids des poseurs, tout juste capables au cours des meetings et manifestations d’exercices répétés, tantôt d’autosatisfaction, tantôt d’auto-flagellation… Entre les « Nous les justes sommes les plus beaux et les plus forts du monde » et les « Nous n’arriverons jamais à rien », entre l’aveuglement et la résignation, il y a le militantisme, le militantisme au quotidien avec ses peines et ses joies.



Militer c’est d’abord, en dehors de toute structure, développer autour de soi un réseau de sympathies. Faire connaître nos idées en prêtant un livre, en faisant écouter un disque de rock nationaliste, en conviant à une réunion… Le militantisme ne se limite pas aux collages et tractages ô combien nécessaires d’ailleurs.



Montrer pour convaincre : faire remarquer les rapports de force dans les transports en commun (quand la majorité devient la minorité), parler sur le lieu de travail de l’actualité, des médias, agir et diffuser dans les activités associatives et sportives, etc. Car toutes les activités sociales sont un terrain d’action et de propagande pour le militant.



Le militantisme ne se résume pas à sortir drapeaux et insignes pour les défilés, à repasser son plus beau treillis pour aller coller. Militer c’est, tous les jours, montrer que l’on peut s’habiller comme tout le monde sans posséder les idées de cette masse avachie.



A fortiori lorsque la répression antinationale-Socialiste se durcit, est-il bien raisonnable de s’afficher avec ces signes extérieurs encore trop prisés de notre jeunesse en quête d’affirmation personnelle ? Plus que jamais, la discrétion est synonyme d’efficacité. Elle permet l’infiltration et le renseignement. Elle garantit l’anonymat des actions dans une zone donnée et handicape largement police, justice et groupes ennemis. Le militantisme n’est pas une mode. Il est une mission guidée par un idéal. Aussi, seul l’accomplissement de sa mission permet de s’en dégager avec honneur. Alors conjuguons nos forces pour triompher !



Notre combat est légitime et légal.


Nous combattons politiquement et culturellement pour notre communauté et notre identité.

Mais ce combat n’est pas une vaste plaisanterie ou un jeu. Il en va de notre survie. Notre mouvement prendra sa vitalité dès lors que chaque combattant se pénètrera d’un esprit, dès lors que chacun prendra conscience de sa mission c’est-à-dire qu’il sera prêt à adopter un certain comportement en accord total avec les idées qu’il prétend défendre, que chacun assume son propre destin et ne se laisse plus séduire par quelques meneurs douteux quant à leur éthique, leur mentalité et leurs objectifs, voire pire leurs mœurs.


Autodiscipline

Apprenez à être modéré, mesuré en apparence. Recherchez la voie médiane, évitez l’excès. Soyez des exemples. Partout où vous passez, que l’on se souvienne de vous en positif. Bannissez définitivement tous les comportements qui nuisent à notre image et ralentissent notre progression. Laissez les folkloriques de tous bords, avec leurs jeux puérils, s’amuser entre eux dans leur ghetto.


Silence

N’informez personne qui n’ait besoin de savoir. Ne faîtes confiance à personne. Que personne ne sache s’il n’en a besoin. Que personne ne sache plus tôt qu’il n’est besoin. Essayez d’écarter les bavards, les langues déliées, au moins écartez-vous d’eux.


Discrétion

Un combattant efficace est un combattant camouflé. Soyez un caméléon, passe-partout, à la mode dans les endroits risqués, adoptez les accoutrements de l’ennemi pour l’infiltrer, gagner sa confiance et ne pas éveiller les soupçons. Dans les conversations, prenez le parti d’un des contradicteurs puis faîtes glisser la conversation lentement sur vos sujets de prédilection : immigration, lobbies… Soyez malins, sympathiques, n’arrivez pas avec vos gros sabots et vos lourdes plaisanteries.


Travail

Que faîtes-vous pour défendre la cause, promouvoir nos idées ? Etes-vous absolument sain, physiquement, mentalement, moralement ? Faîtes des efforts pour progresser dans tous les domaines plutôt que de choisir la facilité, l’oisiveté et la passivité.


Responsabilité

Soyez des chefs, des acteurs plus que des suiveurs. Prenez les affaires en main, opérez des choix, prenez des initiatives, des décisions et assumez-les, mais, en pesant la portée de vos actes. Soyez responsables vis-à-vis du groupe. Ne menacez pas son existence et sa capacité d’action par des comportements personnels instinctifs et irréfléchis.


Lucidité

Evitez les impasses, prévoyez, ne prenez pas de risques inutiles, soyez extrêmement prudents, n’écoutez pas le chant des sirènes, ne vous laissez pas emporter… Posez un regard froid et détaché sur toutes choses. Soyez lucides c’est-à-dire méfiants, soyez toujours sur vos gardes, prêts à la légitime défense radicale. Ne tombez pas dans la paranoïa mais soyez conscients que l’œil du système, Big brother, vous suit.


Sincérité

Soyez honnêtes, loyaux avec vos proches et vos camarades de combat, mais sans foi ni loi avec les autres. Ne décevez pas vos camarades, si vous n’êtes pas sûrs de pouvoir accomplir une mission, n’en prenez pas la charge. Les imprécisions et les improvisations mènent souvent à des échecs voire des catastrophes.


Sérieux

Ecartez les poseurs, les provocateurs, les phraseurs, les clowns, les poltrons, les mythomanes, les magouilleurs et les voyous. Beaucoup de monde… car tôt ou tard, ils vous nuiront. Ils travaillent pour le système, avec ou sans rétribution… Nos missions doivent être confiées à des personnes déterminées, saines extérieurement et intérieurement.


Efficacité

Allez à l’essentiel, au plus profond des choses, bannissez le superficiel, le superflu. Pesez le pour et le contre de vos actions. Ne vous engagez pas à l’aveuglette. Cherchez l’impact maximum le plus large possible. Un livre lu, un sport pratiqué : c’est un combattant entraîné, confiant, cultivé, formé, déterminé qui devient capable d’argumenter, de répondre aux questions, de réagir aux critiques, aux dénigrements, capable de diffuser nos idées.


Sacrifice

Servez sans chercher un quelconque intérêt. Prenez conscience que vous œuvrez pour une communauté de pensée et d’action. Votre travail personnel bénéficie toujours au groupe et le renforce dans sa capacité d’action. Au-delà du groupe, vous agissez pour votre descendance. Vous n’êtes qu’un maillon dans une grande chaîne, mais plus forts seront les maillons, plus longtemps tiendra la chaîne. Si vous démissionnez, personne ne prendra le relais, vous êtes un lâche.


Santé, hygiène de vie

Faîtes travailler votre corps et respectez-le autant que votre cerveau. Pratiquez une activité régulière qui permette l’épanouissement corporel, le développement musculaire, le durcissement moral et la maîtrise mentale. Apprenez à votre corps à triompher de l’effort physique et à votre âme à ne pas redouter la douleur. Respectez certains principes d’alimentation. Evitez de fumer et de boire. Mangez sain et équilibré. Bannissez les excès trop fréquents.


VOUS POUVEZ LE FAIRE !


Tout dépend de combien vous êtes, de votre âge, de votre ville. Mais quelle que soit les conditions, non seulement vous devez agir mais de plus vous pouvez agir.

1ère hypothèse : vous êtes seul ou deux/trois dans une commune de moins de 50 000 habitants. La priorité est d'assurer une présence National-socialiste, de "marquer" le territoire. Comment faire ? La meilleure manière reste l'autocollant. 500 autocollants collés sur une même zone, ça ne passe pas inaperçu. Où agir ? En priorité, là où sont les gens : centre-ville, centres commerciaux, abords de lycées, campus. Inutile de vous embêter à faire tous les quartiers. Il faut concentrer vos efforts et non les disperser. Attention !!! Le feu de paille est inutile. Coller 200 autocollants en une semaine puis ne plus rien faire pendant six mois, ce n'est pas de l'action politique. C'est de la crise d'adolescent. Vos autocollants doivent être régulièrement "entretenus". Le gauchiste et les juifs se lasseront avant vous. Dans les coins, où vous êtes particulièrement arrachés, amusez-vous à coller vos autocollants très bas (par exemple, au bas d'un poteau) et non plus à hauteur de visage. Pour vous, ca ne change pas grand chose. Le passant verra presque aussi bien, voire mieux, car son attention sera attirée davantage (selon la couleur de l'autocollant). En revanche, les gauchistes et les juifs devront se mettre accroupi pour vous arracher. L'expérience a prouvé qu'après deux accroupissements, pose ridicule, et qui ne passe pas inaperçue, "l'arracheur" se décourage et abandonne. Il existe d'autres moyens de préserver l'intégrité physique de vos autocollants. Troisième Voie collait des lames de rasoirs derrière les précieuses affichettes. Résultat garanti. Mais c'est illégal. Nous comptons donc sur vous pour surtout ne pas le faire...

2ème hypothèse : vous formez déjà un petit groupe militant appeler « Cellule ». Vous êtes plus de cinq. Vous pouvez faire comme dit ci-dessus mais, en outre, vous pouvez mener des actions "visibles". Tractage de lycée, de Macdo... Vous pouvez aussi choisir un quartier et le déclarer « zone National Socialiste ». Pour ce faire, vous avertissez par bombage que tel quartier est dorénavant "zone National Socialiste ". Dans ce périmètre, aucune affiche et autre, gauchiste, concert rap etc ne doit tenir plus d'une demi-journée. En revanche, votre propagande doit, elle, s'étaler sur les murs en toute impudeur. Of course, il est vivement recommandé de ne se lancer que si l'on se sent assez fort. Afin de ne pas sombrer dans le ridicule, la "zone" doit quand même comporter plusieurs rues... En général, on choisit le quartier où se trouve le "bar faf" de service...

Bien sûr, il ne s'agit là que de suggestions. Bien d'autres choses sont possibles. Encore faut-il agir ! Il faut vous fixer des objectifs à court terme et les atteindre. Soyez de vrais militants NR [ou autres bien évidemment]. Laissez les comptoirs de bistrot aux autres, les histoires de "baston" aux bavards. Agissez ! Descendez sur le terrain ! Nos idées n'existent pas si elles ne sont pas "visibles" par nos compatriotes.


DONNEZ LA PAROLE AUX MURS !


Il existe un moyen peu onéreux et assez spectaculaire de signaler une présence du National-socialiste Français : le bombage. Interdit lorsqu'il s'agit de bombe de peinture, il reste possible si l'on utilise du blanc d'Espagne. C'est donc dans ce cadre légal qu'il faut bien sûr lire les lignes qui suivent.

Pour qu'un bombage soit efficace, il faut obéir à quelques règles précises.

D'abord, il faut choisir le lieu avec soin. Un pont d'autoroute, un mur le long d'une voie ferrée, d'une ligne de bus ou de tram conduisant à une faculté, l'entrée d'une bibliothèque universitaire, bref, il faut cibler les points par lesquels transitent chaque jour des milliers de personnes. Inutile donc de couvrir d'inscriptions une ruelle de votre village. Il faut également ne pas décrédibiliser notre cause : laissons les murs des wc de facultés ou de gare aux homorastes... Ensuite, il convient de choisir avec soin le slogan. On peut les diviser en deux catégories : les bons et les mauvais. Les mauvais, c'est simple, c'est tout ce qui n'est pas politique (appel au meurtre, private joke, nostalgie...). Les bons, c'est tout ce qui est politique ou bien signale notre présence (emblème du parti avec nom du mouvement). Un bombage ne se fait pas à dix. Il convient d'être discret.

Un guetteur suffit. De même, inutile d'attirer l'attention en revêtant une panoplie de faf. Les bonnes heures pour le bombage sont plutôt celles de l'aube durant laquelle la surveillance policière est plus réduite. Si vous êtes particulièrement maladroit ou bien si vous avez quelques qualités artistiques, vous pouvez utiliser des pochoirs. Le résultat sera plus soigné mais forcément moins spectaculaire. Pour conclure, dans ce type d'action comme pour les autres, il est nécessaire d'entretenir le terrain. Un bombage annuel ne sert à rien. Une dizaine d'inscriptions à des endroits stratégiques convenablement entretenus voila l'objectif minimal pour un groupe nationaliste.


PNSF

jeudi 12 août 2010

Communiqué de notre camarade Vincent Reynouard

Mardi 10 août 2010

De sa prison belge Vincent Reynouard nous prie de diffuser le communiqué suivant:

Chers Amis,

Depuis le 9 juillet, je suis incarcéré à la prison de Forest (Bruxelles). J’attends de
savoir si je serai extradé vers la France qui me réclame afin que j’effectue la peine de
un an de prison ferme à laquelle j’ai été condamné en juin 2008 (arrêt de la Cour d’appel
de Colmar). Depuis cette date, la France avait lancé un mandat d’arrêt européen contre moi.

J’ignore si je serai finalement extradé, car il est possible que dans cette affaire je
puisse bénéficier des lenteurs de l’administration pour obtenir ma remise en liberté. Mais
je suis prêt à tout et l’éventualité de la prison en France ne m’effraie pas. Ce serait
même un honneur pour le militant que je suis.

Les barreaux peuvent retenir les corps mais ils donnent des ailes à la vérité que l’on
tente d’étouffer. Certes, pour l’heure, cela ne se voit pas: je suis en prison dans
l’indifférence quasi générale. Mais, comme la justement rappelé René-Louis Berclaz, une
idée que l’on confine dans un milieu clos s’étiole et disparaît. Seule sa défense au grand
jour permet de la maintenir en vie. En France, c’est parce qu’un Robert Faurisson, un Paul
Rassinier, un Henri Roques, un Pierre Marais ou un Pierre Guillaume ont osé braver le
tabou qu’une jeune génération a pu connaître le révisionnisme et reprendre le flambeau
qui, sans cela, serait tombé à terre pour s’éteindre.

Un jour ou l’autre, à la faveur d’événements que nous ne pouvons ni prévoir, ni provoquer,
L’heure sera venue où les peuples seront prêts à recevoir le message révisionniste et,
surtout, à en tirer toutes les conséquences historiques, sociales, politiques, morales et
même religieuses.

Ce jour-là, il faudra être au rendez-vous. Et pour y être il faudra qu’il existe encore
des révisionnistes actifs. Sera-ce le rôle de ma génération? Ou dune autre? Peu importe,
après tout. Nous devons nous considérer uniquement comme les maillons dune chaîne de
transmission. A cette différence près que chaque maillon apporte sa pierre à l’édifice en
faisant de nouvelles découvertes qui permettront d’affiner, de préciser et de renforcer
toujours plus la thèse révisionniste. Non seulement dans le domaine historique, mais
aussi en explorant et en dévoilant toutes les implications sociales du mythe des six
millions .

Pour moi, le révisionnisme est comme un fœtus qui se développe sans cesse. Lorsqu’il sera
à maturité, alors l’heure sera venue pour lui de jouer son rôle.

Ils se trompent donc gravement ceux qui voient dans le révisionnisme la simple remise en
question de l’existence des chambres à gaz homicides dans les camps allemands. Sil ne
s’agissait que de cela, il y a longtemps que le débat serait clos Mais, en vérité, les
enjeux du débat dépassent la question historique. Et c’est parce qu’il en est parfaitement
conscient que Big Brother traque sans pitié les révisionnistes où qu’ils soient.

J’appelle donc tous les vrais opposants au Nouvel Ordre mondial à soutenir la libre
recherche en histoire ainsi que le débat global, frontal et sans concession mené depuis
maintenant plus de dix ans par l’équipe de Vérité Historique Objective. Quant à moi, les
juges savent que je ne céderai jamais. Je poursuivrai le combat, quels qu’en soient les
risques et les conséquences. Pour les Palestiniens, pour l’Allemagne et, surtout, pour les
jeunes générations d’Europe afin quelles soient débarrassées de ce mythe incapacitant qui
tue notre Vieux Continent.



Vincent REYNOUARD



___________________________________





Le Parti National socialiste Français rappelle à l'ensemble de ces membres qu'un nouveau compte en banque a été ouvert pour venir en aide à la famille Reynouard.
Voici les références du nouveau compte:

Titulaire du compte : Marc Vanbesien
Nom de la banque: KBC BIC:
KREDBEBB IBAN: BE12 7330 5129 0192



Vous pouvez lui écrire a cette adresse:

Monsieur Vincent Reynouard
Prison de Forest
52 avenue de la Jonction
B-1190 FOREST
(Belgique)





N'oublier jamais que notre solidarité sera notre force.

PNSF


samedi 17 juillet 2010

Vincent Reynouard en prison!

Vincent Reynouard en prison!

Vendredi 16 juillet 2010 21h45


De sa prison belge Vincent Reynouard nous prie de diffuser le communiqué suivant:

Chers Amis,

Depuis le 9 juillet, je suis incarcéré à la prison de Forest (Bruxelles).

J'attends de savoir si je serai extradé vers la France qui me réclame afin que j'effectue la peine de un an de prison ferme à laquelle j'ai été condamné en juin 2008 (arrêt de la Cour d'appel de Colmar). Depuis cette date, la France avait lancé un mandat d'arrêt européen contre moi.

J'ignore si je serai finalement extradé, car il est possible que dans cette affaire je puisse bénéficier des lenteurs de l'administration pour obtenir ma remise en liberté. Mais je suis prêt à tout et l'éventualité de la prison en France ne m'effraie pas. Ce serait même un honneur pour le militant que je suis.

Les barreaux peuvent retenir les corps mais ils donnent des ailes à la vérité que l'on tente d'étouffer. Certes, pour l'heure, cela ne se voit pas: je suis en prison dans l'indifférence quasi générale. Mais, comme l'a justement rappelé René-Louis Berclaz, une idée que l'on confine dans un milieu clos s'étiole et disparaît. Seule sa défense au grand jour permet de la maintenir en vie.

En France, c'est parce qu'un Robert Faurisson, un Paul Rassinier, un Henri Roques, un Pierre Marais ou un Pierre Guillaume ont osé braver le tabou qu'une jeune génération a pu connaître le révisionnisme et reprendre le flambeau qui, sans cela, serait tombé à terre pour s'éteindre.

Un jour ou l'autre, à la faveur d'événements que nous ne pouvons ni prévoir, ni provoquer, l'heure sera venue où les peuples seront prêts à recevoir le message révisionniste et, surtout, à en tirer toutes les conséquences historiques, sociales, politiques, morales et même religieuses.

Ce jour-là, il faudra être au rendez-vous. Et pour y être il faudra qu'il existe encore des révisionnistes actifs. Sera-ce le rôle de ma génération? Ou d'une autre? Peu importe, après tout. Nous devons nous considérer uniquement comme les maillons d'une chaîne de transmission. A cette différence près que chaque maillon apporte sa pierre à l'édifice en faisant de nouvelles découvertes qui permettront d'affiner, de préciser et de renforcer toujours plus la thèse révisionniste. Non seulement dans le domaine historique, mais aussi en explorant et en dévoilant toutes les implications sociales du mythe des "six millions".

Pour moi, le révisionnisme est comme un foetus qui se développe sans cesse. Lorsqu'il sera à maturité, alors l'heure sera venue pour lui de jouer son rôle.

Ils se trompent donc gravement ceux qui voient dans le révisionnisme la simple remise en question de l'existence des "chambres à gaz homicides" dans les camps allemands. S'il ne s'agissait que de cela, il y a longtemps que le débat serait clos... Mais, en vérité, les enjeux du débat dépassent la question historique. Et c'est parce qu'il en est parfaitement conscient que Big Brother traque sans pitié les révisionnistes où qu'ils soient.

J'appelle donc tous les vrais opposants au Nouvel Ordre mondial à soutenir la libre recherche en histoire ainsi que le débat global, frontal et sans concession mené depuis maintenant plus de dix ans par l'équipe de Vérité Historique Objective.

Quant à moi, les juges savent que je ne céderai jamais. Je poursuivrai le combat, quels qu'en soient les risques et les conséquences. Pour les Palestiniens, pour l'Allemagne et, surtout, pour les jeunes générations d'Europe afin qu'elles soient débarrassées de ce mythe incapacitant qui tue notre Vieux Continent.

Vincent REYNOUARD

mardi 1 juin 2010

ला vérité रेंड libre




Le rappeur FASC ou l'audace du révisionnisme déchaîné




S'il est une liberté que nous devons à l'Internet, c'est celle de la résistance efficace, même si elle reste limitée dans son rayonnement, aux censeurs qui dominent les médias de cour, c'est-à-dire, en termes de diffusion, 99,9% de la presse écrite et audiovisuelle. En effet, plus le tour de vis de la censure et de l'autocensure se serre dans les médias officiels, qui dominent aussi une bonne partie de l'information Internet, plus la résistance devient audacieuse et ingénieuse dans sa façon de contrer la pensée unique qui est déversée quotidiennement sur les citoyens sous forme de foot & news, pub & music, fait divers & day fever, panem & circences, show-biz & shit-buzz... destinés à les détouner (c'est l'étymologie de la dis-traction) des enjeux, des idéaux, des combats qui pourraient les réveiller s'ils décidaient de ne plus avaler la bouillie pour chats qui leur ramollit les neurones...

Le Rappeur FASC, comme ses collègues à contre-courant Exlimes (Antisémite) et Sadeq (Le 52e État), comme leur pote humoriste Dieudonné, ne fait pas dans l'harmonie, ni dans la dentelle. Son truc, c'est la "provoc", il l'avoue toute honte bue. Cela bien sûr froissera les estomacs sensibles et détournera de lui le public frileux, timoré, qui pense peut-être qu'il serait bon de mettre un terme à l'hypocrisie de la repentance et aux haines bibliques motivant l'imprescribilité des "crimes contre l'humanité" qui ne seraient attribuables qu'aux vaincus des récentes guerres mondiales, mais qui reste convaincu qu'il y a d'autres manières de le faire qu'en poussant des gueulantes provocatives...

Mais y en a-t-il vraiment d'autres ? Tous les dissidents radicaux de la pensée unique (Robert Faurisson, Ernst Zündel, David Irving, Thierry Meyssan, pour ne citer qu'eux) ont été menacés, agressés physiquement, traînés devant les tribunaux, expulsés ou emprisonnés...). Leurs ouvrages ont été victimes d'autodafés, mis à l'index, interdits de librairie, ce qui ne les a pas empêché de se diffuser sous le manteau, notamment sur la toile...

FASC se fiche bien de ce qui peut lui arriver. D'entrée de jeu, il se positionne en marge de la pensée unique, devenant, comme Dieudonné, son propre média, gesticulant sa révolte sur son propre théâtre. Ne le regarde, ne l'approuve, ne le montre à ses amis que ceux qui le veulent bien... Personne n'est obligé de le voir tous les soirs sur la TV comme un Finkielkraut ou un Zemmour (qui s'attaque, pour ce dernier, à quelques tabous, sans jamais effleurer l'essentiel) ou d'autres encore plus conformistes qu'eux. Personne n'est obligé, mais ceux qui ne veulent plus de la bouillie, sans être pour autant des Hitlériens ni des antisémites (et s'ils l'étaient qu'est-ce que cela peut bien nous faire ?), trouveront ici d'autres aliments. Pourquoi, dans l'atmosphère putride de ce triste début de siècle, nous priver de ce bol d'air ?

C'est un peu court, dirons ceux qui préfèrent la réflexion. Certes, cela ne va pas bien loin... Mais ce qu'on a appelé la "shoatisation" de l'Histoire contemporaine est, elle aussi, un peu courte comme cellule d'enfermement de la pensée. FASC nous incite à briser les barreaux, c'est tout. C'est à nous qu'il appartient d'aller plus loin et plus haut.


Certains, en tout cas, peuvent aimer regarder ça en pensant à la tête que feront d'autres en le regardant !
À chacun d'assumer ses motivations et ses limites.


"Quand un gouvernement conduit un peuple à sa ruine par tous les moyens, la rébellion devient non pas un droit, mais un devoir."

Adolf Hitler

dimanche 16 mai 2010

Les responsables de l'immigration-invasion enfin démasqués.

Le crime et la délinquance ont coûté 115 milliards d’euros à l'Etat en un an

L’insécurité, ça vaut cher. Le crime et la délinquance ont «coûté» 115 milliards d'euros de juillet 2008 à juin 2009, soit 5,6% du PIB de la France, autant que l'Education nationale ou le système hospitalier, selon une étude publiée ce mardi

Une étude menée par un économiste et mathématicien

«Dans un contexte de contrainte budgétaire aiguë, la lutte contre l'insécurité est parfois critiquée pour son coût», relève l'association de défense des victimes «Institut pour la justice», estimant que «le débat gagnerait à être éclairé par ce que coûte l'insécurité elle-même».

L'institut dit avoir demandé une étude à un économiste et mathématicien, Jacques Bichot, professeur émérite à l'Université de Lyon 3. Ce dernier «a pris en compte la totalité des crimes et délits», à l'exception des infractions au code de la route, et comptabilisé les coûts directs (préjudice pour la victime) et indirects (dépenses de sécurité, publiques et privées, notamment).

La délinquance en col blanc la plus coûteuse

Par secteur, Jacques Bichot chiffre par exemple les violences (homicides, viols, blessures volontaires, séquestration, etc) à environ 14 milliards, le crime organisé à 16 milliards, les vols à 10 milliards, et la délinquance en col blanc à 20 milliards.

L'économiste admet que le coût est facile à estimer pour certains faits (délits financiers, vols...), beaucoup plus difficile pour d'autres, tels que les homicides ou les viols. Il indique s'être basé sur des estimations réalisées pour les accidents de la route par exemple, ou sur des expertises, indemnisations ou estimations utilisées par les assurances, tribunaux, etc.

Appel à la «rationalisation des choix budgétaires»

Selon l'association, les études consacrées au coût du crime et de la délinquance sont rares. Elles sont pourtant, selon Jacques Bichot, nécessaires à «la rationalisation des choix budgétaires appliquée à la lutte» contre l'insécurité.

L'Institut pour la Justice, créé en 2007, revendique 160.000 sympathisants.

Il est parrainé par le père d'Anne-Lorraine Schmitt, une jeune femme qui avait été mortellement agressée dans un RER et dont la mort avait relancé le débat sur la récidive.


PNSF

Le salaire des politichiens. "L'idéal, c'est quand on peut mourir pour ses idées. La politique, c'est quand on peut en vivre !"

Le salaire des élus et hommes politiques


"L'idéal, c'est quand on peut mourir pour ses idées. La politique, c'est quand on peut en vivre !" Nombre de nos élus ne renieraient pas cette boutade signée Charles Peguy.

Objet de fantasme, la rémunération des élus est aussi sujet tabou. Elle est pourtant strictement encadrée depuis 1992 et l'apparition du principe de l'écrêtement : quel que soit le nombre de mandats ou de fonctions qu'ils exercent, les revenus de nos représentants sont plafonnés, sauf pour les ministres. Ils ne peuvent pas recevoir plus de 8 230,37 € brut par mois. Des indemnités confortables qui ne tiennent pas compte de tous les petits à-côtés que leur autorise leur fonction. Sur ce point, il existe bien élite et petit personnel.


Président de la République : 27 288 € bruts par mois


Traitement mensuel : 27 287,95 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (21 194,52 €), une indemnité de résidence (635,84 €) et une indemnité de fonction non imposable (5 457,59 €).

Avantages : logement de fonction à l'Elysée, accès gratuit au réseau SNCF, voitures de fonction et chauffeurs, mise à disposition d'une flotte d'avions, bénéfice de plusieurs résidences secondaires.

Cumul : impossible. Les éléments de rémunération du président de la République sont exclusifs de tout autre traitement, pension, prime ou indemnité, hormis celles à caractère familial.


Député : 11 146 € nets par mois


Indemnité mensuelle : 7 064,8 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (5 487,25 €), une indemnité de résidence (164,62 €) et une indemnité de fonction non imposable (1 412,97 €). Cela représente 5 261,01 € net par mois.

Indemnité représentative de frais de mandat : 5 884,9 € net par mois, pour faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat (voiture, loyer, frais de réception, d'habillement...)

Avantages : 9 093 € mis à disposition pour rémunérer ses collaborateurs, accès gratuit à l'ensemble du réseau SNCF en 1re classe, remboursement des forfaits de cinq lignes téléphoniques et d'un abonnement internet. Le président de l'Assemblée nationale jouit d'une indemnité propre de plus de 14 000 €.

Cumul : possible. Un député ne peut cumuler son indemnité parlementaire et les indemnités d'autres mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant brut de l'indemnité parlementaire de base, soit 8 230,88 €. Un parlementaire ne peut donc percevoir plus de 2.743,63 € au titre de ses mandats locaux.


Sénateur : 11 976 € nets par mois


Indemnité mensuell : 7 064,8 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (5 487,25 €), une indemnité de résidence (164,62 €) et une indemnité de fonction non imposable (1 412,97 €). Cela représente 5 378,88 € net par mois.

Indemnité représentative de frais de mandat : 6 209,1 € net par mois pour faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat (voiture, loyer, frais de réception, d'habillement...).

Avantages : 7 203,8 € mis à disposition pour rémunérer ses collaborateurs, dotation micro-informatique, accès gratuit à l'ensemble du réseau SNCF en 1re classe, forfait global de communications téléphoniques. Le président du Sénat jouit d'une indemnité propre de plus de 14 000 €.

Cumul : possible. Un sénateur ne peut cumuler son indemnité parlementaire et les indemnités d'autres mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant brut de l'indemnité parlementaire de base, soit 8 230,88 €. Un parlementaire ne peut donc percevoir plus de 2 743,63 € au titre de ses mandats locaux.


Premier ministre : 27 288 € bruts par mois


Traitement mensuel : 27 287,95 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (21 194,52 €), une indemnité de résidence (635,84 €) et une indemnité de fonction non imposable (5 457,59 €).

Avantages : logement de fonction à Matignon, accès gratuit au réseau SNCF, voitures de fonction et chauffeurs, mise à disposition d'une flotte d'avions, bénéfice de plusieurs résidences secondaires.

Cumul : possible. Un Premier ministre ne peut cumuler son indemnité ministérielle avec des indemnités de mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant de son traitement ministériel. Autrement dit 13,644 € bruts par mois. Un Premier ministre peut donc toucher jusqu'à 40 932 € par mois de la part de l'Etat.


Ministre : 18 193 € bruts par mois


Traitement mensuel : 18 192,96 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (14 129,68 €), une indemnité de résidence (423,89 €) et une indemnité de fonction non imposable (3 638,39 €).

Avantages : logement de fonction ou prise en charge par l'Etat d'une superficie maximale de 80 m² plus 20 m² par enfant à charge, accès gratuit au réseau SNCF, voiture de fonction et chauffeur, quota de déplacements aériens.

Cumul : possible. Un ministre ne peut cumuler son indemnité ministérielle avec des indemnités de mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant de son traitement ministériel. Autrement dit 9 096,48 € bruts par mois. Un ministre peut donc toucher jusqu'à 27 289 € par mois de la part de l'Etat.


Secrétaire d'Etat : 17 282 € bruts par mois


Traitement mensuel : 17 282,37 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (13 825,89 €), une indemnité de résidence (402,7 €) et une indemnité de fonction non imposable (3456,47 €).

Avantages : logement de fonction ou prise en charge par l'Etat d'une superficie maximale de 80 m² plus 20 m² par enfant à charge, accès gratuit au réseau SNCF, voiture de fonction et chauffeur, quota de déplacements aériens.

Cumul : possible. Un secrétaire d'Etat ne peut cumuler son indemnité ministérielle avec des indemnités de mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant de son traitement ministériel. Autrement dit 8 641,2 € bruts par mois. Un secrétaire d'Etat peut donc toucher jusqu'à 25 923 € par mois de la part de l'Etat.


Député européen : au moins 9 766 € bruts par mois


Traitement mensuel : 7 665,31 € bruts par mois. Après déduction de l'impôt européen et de la cotisation d'assurance accidents, il s'établit à 5 963,33 €. Il est ensuite intégralement imposé par les États membres.

Indemnité de frais généraux : 4 202 € par mois. Elle couvre les frais de bureau du député dans son Etat d'élection, de téléphone, d'équipements informatiques et de déplacement. L'indemnité est réduite de moitié pour les députés qui, sans justification valable, n'assistent pas à la moitié des séances plénières d'une année parlementaire. Un député consciencieux gagnera donc 11 867,31 € bruts par mois.

Avantages : le coût réel des titres de transport pour assister aux réunions leur est remboursé sur présentation des pièces justificatives. Il dispose d'une indemnité annuelle de voyage de 4 148 euros. Enfin le Parlement verse une indemnité forfaitaire de 298 euros pour chaque jour de présence aux réunions des organes du Parlement.


Conseiller général : de 1 513 à 2 648 € bruts par mois


Département de moins de 250 000 habitants : 1 513,02 € bruts par mois et 1 664,32 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.

Département de 250 à 500 000 habitants : 1 891,28 € bruts par mois et 2 080,4 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.

Département de 500 000 à 1 million d'habitants : 2 269,54 € bruts par mois et 2 496,49 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.

Département de 1 à 1,25 million d'habitants : 2 458,66 € bruts par mois et 2 704,53 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.

Département de plus de 1,25 million d'habitants : 2 647,79 € bruts par mois et 2 912,57 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.


Président de conseil général : 5 485 € bruts par mois


Président de conseil général : 5 484,7 € bruts par mois, quelque soit la taille du département. Soit 65 816,5 € bruts par an.

Vice-président de conseil général : de 2 118,2 € à 3 706,9 € bruts par an.

Cela dépend de la taille du département. 2 118,2 € pour ceux de moins de 250 000 habitants, 2 647,8 € pour ceux de 250 à 500 000 habitants, 3 177,4 € pour ceux de 500 000 à 1 million d'habitants, 3 442,1 € pour ceux de 1 à 1,25 million d'habitants et 3 706,9 € pour ceux de plus de 1,25 million d'habitants.

Avantages : dans certains départements, les présidents de conseil général ont droit à un logement de fonction. La plupart dispose de voitures de fonction.


Conseiller régional : de 1 513 à 2 648 € bruts par mois


Région de moins de 1 million d'habitants : 1 513,02 € bruts par mois, et 1 664,32 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.

Région de 1 à 2 millions d'habitants : 1 891,28 € bruts par mois, et 2 080,4 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.

Région de 2 à 3 millions d'habitants : 2 269,54 € bruts par mois, et 2 496,49 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.

Région de plus de 3 millions d'habitants : 2 647,79 € bruts par mois, et 2 912,57 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.


Président de conseil régional : 5 485 € bruts par mois


Président de conseil régional : 5 484,7 € bruts par mois, quelque soit la taille de la région. Soit 65 816,5 € bruts par an.

Vice-président de conseil régional : de 2 118,2 € à 3 706,9 € bruts par an. Cela dépend de la taille de la région. 2 118,2 € pour celles de moins de 1 million d'habitants, 2 647,8 € pour celles de 1 à 2 millions d'habitants, 3 177,4 € pour celles de 2 à 3 millions d'd'habitants, et 3 706,9 € pour celles de plus de 3 millions d'habitants.

Avantages : dans certaines régions, les présidents de conseil régional ont droit à un logement de fonction. La plupart dispose de voiture de fonction.


Conseiller économique et social : au moins 3 768 € bruts par mois


Indemnité mensuelle : 1 883,95 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (1 829,08 €) et une indemnité de résidence (54,87 €).

Indemnité de frais de représentation : 1 883,95 € bruts par mois. Les 72 membres de section perçoivent une indemnité mensuelle représentative de frais supplémentaire de 866,28 € soit au total 2 750,23 €.

Indemnités supplémentaires : 282,59 € bruts pour chaque séance de section à laquelle ils assistent dans la limite de 11 303,7 € par an, et 452,15 € bruts par rapport rédigé, dans la limite de 1 808,59 € par an.

Président du Conseil économique et social : 7 535,8 € bruts par mois. En plus de sa rémunération de conseiller, il perçoit une indemnité spéciale pour frais de représentation égale au double de cette rémunération. Les présidents de groupe eux perçoivent 5 651,9 € bruts par mois.

Avantages : crédit fixé chaque année pour leurs déplacements métropolitains, remboursement des trajets domicile-Conseil pour les 72 membres de section.


Maire d'une grande ville : de 4 161 à 5 485 € bruts par mois


Commune de 50 000 à 99 999 habitants : 4 160,8 € bruts par mois, soit 49 929,8 € bruts par an. Un adjoint gagne 1 664,3 € bruts par mois soit 19 971,9 € bruts par an.

Commune de 100 000 à 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois, soit 65 816,5 € bruts par an. Un adjoint gagne 2 496,5 € bruts par mois soit 29 957,9 € bruts par an. Et pour les conseillers municipaux, les indemnités s'élèvent à 226 € bruts par mois soit 2 734 € bruts par an.

Commune de plus de 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois, soit 65 816,5 € bruts par an. Un adjoint gagne 2 742,4 € bruts par mois soit 32 908,3 € bruts par an. Et pour les conseillers municipaux, les indemnités s'élèvent à 226 € bruts par mois soit 2 734 € bruts par an.


Maire d'une petite ville : de 2 080 à 3 404 € bruts par mois


Commune de 3 500 à 9 999 habitants : 2 080,4 € bruts par mois, soit 24 964,9 € bruts par an. Un adjoint gagne 832,2 € bruts par mois soit 9 985 € bruts par an.

Commune de 10 000 à 19 999 habitants : 2 458,7 € bruts par mois, soit 29 503 € bruts par an. Un adjoint gagne 1 040,2 € bruts par mois soit 12 482 € bruts par an.

Commune de 20 000 à 49 999 habitants : 3 404 € bruts par mois, soit 40 851,7 € bruts par an. Un adjoint gagne 1 248,2 € bruts par mois soit 14 978,9 € bruts par an.

NB : ces indemnités sont les montants maximums autorisés. Un élu peut y renoncer, le maire peut décider que tout ou partie de ses indemnités soient reversées à ses adjoints.


Maire d'un village : de 643 à 1 627 € bruts par mois


Commune de moins de 500 habitants : 643,04 € bruts par mois soit 7 716 € bruts par an. Un adjoint gagne 249,6 € bruts par mois soit 2 995,8 € bruts par an.

Commune de 500 à 999 habitants : 1 172,6 € bruts par mois, soit 14 071 € bruts par an. Un adjoint gagne 312,1 € bruts par mois soit 3 744,7 € bruts par an.

Commune de 1 000 à 3 499 habitants : 1 626,5 € bruts par mois soit 19 518 € bruts par an. Un adjoint gagne 624,1 € bruts par mois soit 7 489,5 € bruts par an.

NB : ces indemnités sont les montants maximums autorisés. Un élu peut y renoncer, le maire peut décider que tout ou partie de ses indemnités soit reversé à ses adjoints.


Président de communauté urbaine : de 3 404 à 5 485 € bruts par mois


Communauté urbaine ou d'agglomération de 20 000 à 49 999 habitants : 3 404,3 € bruts par mois, soit 40 851,6 € bruts par an. Un vice-président gagne lui 1 248,2 € bruts par mois soit 14 978,9 € bruts par an.

Communauté de 50 000 à 99 999 habitants : 4 160,8 € bruts par mois, soit 49 929,8 € bruts par an. Un vice-président gagne lui 1 664,3 € bruts par mois soit 19 971,9 € bruts par an.

Communauté de 100 000 à 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois, soit 65 816,5 € bruts par an. Un vice-président gagne lui 2 496,5 € bruts par mois soit 29 957,9 € bruts par an. Les délégués des communes perçoivent eux 226,9 € bruts par mois.

Communauté à 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois, soit 65 816,5 € bruts par an. Un vice-président gagne lui 2 742,4 € bruts par mois soit 32 908,3 € bruts par an. Les délégués des communes perçoivent eux 226,9 € bruts par mois quand la taille de la communauté est inférieure à 400 000 habitants et 1 059,1 € au-delà.



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